On peut y entrer par la rue de Vaugirard en empruntant un court escalier en pas d'âne qui mène à un portique coiffé de verdure.
Au bout de l'allée, on aperçoit la fontaine de la Paix (ou de la Paix et des Arts). Celle-ci fut d'abord installée en 1807 sur la place Saint-Sulpice voisine jusqu'à ce qu'on y installe celle des évêques (voir ici). Déménagée dans le marché Saint-Germain, elle y resta jusqu'en 1935. Les bas-reliefs qui figurent sur le corps central sont de Jean-Joseph Espercieux (1757-1840). Ils représentent des allégories de l'Agriculture, du Commerce, de la Science et de la Paix.
En se penchant sur la balustrade qui domine la rue Bonaparte, on peut apercevoir l'institut hongrois où deux femmes attendent; l'une, c'est pour l'éternité (elle est l'oeuvre de Andras Lapis), la deuxième, souhaitons-lui de ne pas avoir attendu trop longtemps l'ouverture de la porte.
Je n'ai pas l'habitude de défigurer les femmes, mais j'y étais obligé pour protéger son image (sic). |
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